
J’en suis maintenant à cinq semaines d’entraînement au marathon.
Aujourd’hui, j’ai « couru » huit milles. Et quand j’écris huit, je veux dire que j’ai couru à peu près quatre, puis j’ai couru / marché le reste.
Voici mon problème.
Je ne peux pas sortir de ma tête.
Je veux. Je me sens bien au début de mes courses, puis à peu près à mi-parcours, c’était fini.

Je ne sais pas quoi faire à ce sujet.
Je sais que cette semaine était de la merde, le travail a fait son apparition et a conspiré avec 90 degrés-jours pour tuer mes courses mardi et mercredi, ce qui signifie que je ne suis pas sorti pour la première fois avant jeudi.
Alors j’ai fini par courir jeudi et vendredi, j’allais rouler samedi, mais ensuite nous avions prévu une randonnée en famille et mon entraîneur a commenté mon plan du dimanche qu’il voulait que j’aie des «jambes fraîches» alors j’ai décidé de tuer le trajet.
Et puis la «randonnée» que nous avions planifiée s’est transformée en promenade.
J’ai l’impression que l’univers, ma tête et mon manque d’endurance conspirent contre moi.
J’AI BESOIN D’AIDE!!
La réponse que j’ai reçue de mon coach de course à pied est inestimable :
Merci de nous avoir contactés. Il est important pour moi d’avoir une évaluation honnête de mes athlètes.
Alors, voici quelques réflexions :
- Ralentissez si vous en avez besoin. Je préfère que vous couriez plus lentement mais continuellement plutôt que de commencer un peu trop vite et d’avoir ensuite besoin de marcher.
- Arrêtez de vous soucier de votre rythme pour le moment. (Je peux vous imaginer lire le point précédent et penser « mais ce rythme était facile ».
- Je crois que c’est le grand philosophe George Clinton qui a dit « libérez votre esprit et votre cul suivra ». Croyez-moi, je comprends. Et je ne voulais pas faire la lumière sur vos soucis. Mais une partie de mon travail consiste à inquiéter mes athlètes. Tu cours, je pense. Cela ne veut pas dire que vous n’êtes pas intelligent ou capable. Il est clair que vous l’êtes. Je n’ai juste pas besoin que tu t’inquiètes maintenant.
Merci de continuer à me tenir au courant. S’il vous plaît, pensez simplement « gauche, droite, répétez » pour l’instant. Nous allons bien.

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Mon équipement de course actuel
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